mardi 10 janvier 2012

Shoalwater : déjà la fin ...

Déjà presque 10 jours que nous sommes en Australie, incroyable comme c'est passé vite. Tout était nickel dans notre première étape à Shoalwater.


Pour le Windsurf : du vent tous les jours (d’après un local, la pétole qui dure depuis plus d’un an a pris fin le jour de notre arrivée, si ça ce n’est pas du bol…), une navigation certes sans vagues mais avec d’autres intérêts. On tire de très grands bords dans deux grandes baies superbes : Safety Bay et surtout Shoalwater Bay : ballade full speed dans des eaux alternativement turquoises et bleu profond, en compagnie de dauphins, et au milieu de petites îles où on peut jiber (tourner, ndr) à quelques dizaines de mètres de gros lions de mer en train de bronzer sur le sable.



Pour les ballades : l’Ile au Pingouins a beaucoup plu aux enfants : on peut effectivement y dénicher des petits pingouins, bien cachés…


Nous avons surtout vu beaucoup d’autres d’oiseaux marins, dont des sternes qui couvent leur œuf sur les rochers et aussi des grands pélicans. 



Le Cap Peron (ci-dessus) : ballade magnifique : on dirait les Côtes d’Armor mais avec le climat de la Côte d’Azur.

Comme d’hab’, un p’tit diaporama :

Le top c’est qu’il y a très peu de monde (pourtant nous sommes en plein « mois d’Août » Australien). Un tel endroit en France serait littéralement envahi de touristes… Je pense que Shoalwater est l’équivalent d’un Carnac en France : très riche et très propre…

Seuls bémols : les prix, tout est incroyablement cher, la bouffe est pas top, et le soleil tape très (trop) fort. Et aussi les enfants qui ne sont pas faciles tous les jours… Entre Anaïs la rebelle et Titouan la brute (qui a pris l’habitude de taper quand il n’est pas content ou quand il est content…)

Demain nous remontons de 250 km vers le Nord, pour passer une semaine à Lancelin, un des hauts lieux du windsurf ouest australien (le vrai windsurf, celui avec des vagues…), à deux pas du début du désert…

1 commentaire:

Tony a dit…

ahah Titouan la brute qui tape meme quand il est content ça me fait rire. Mais bon, à la longue... Parait-il que je fonçais tete baissée dans le ventre de tout le monde pour jouer...
Grosses bizes à tous ! éclate toi bien Laurent !